The New Yorker

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Les Unes de la Collection The New Yorker sont proposées en exclusivité dans nos boutiques à Paris et chez nos revendeurs. Contactez le service client sur serviceclient@image-republic.com ou par téléphone 0144501410 pour connaître le nom de celui qui se trouve le plus proche de chez vous. Magazine cosmopolite et urbain fondé en 1925, The New Yorker délivre chaque semaine des analyses et des commentaires sur la politique américaine et internationale, et traite du monde des affaires, des sciences et des technologies. Il consacre également une place importante à la culture populaire, aux arts, à la poésie et à la fiction. Il se démarque depuis sa création pour ses caricatures et ses dessins d’humour. Il publie les meilleurs auteurs de son temps et a reçu de nombreuses récompenses pour la vivacité de ses commentaires, la qualité d’écriture et la rigueur de ses journalistes. Attendues chaque semaine, ses couvertures sont célèbres à travers le monde. Elles sont une véritable marque de fabrique du magazine et consacrent des artistes de toutes nationalités comme Jean-Jacques Sempé, Arthur Getz, Eric Drooker, Saul Steinberg, Malika Favre, Chris Ware, Mark Ulriksen … Lire moins
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Jeu de couleurs et de lumières pour un réveil printanier, par Tomer Hanuka, dessinateur né en Israël et débarqué à New York a 20 ans. Pour la couverture du numéro style du New Yorker, il installe une silhouette ultra-urbaine contemporaine, dans une végétation luxuriante paradoxale, sur un sol immaculé, entre la neige et le soleil, que rehaussent deux pointes de rouge, langue et rouge à lèvres.

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Pour le numéro style du New Yorker du 18 mars 2019, Malika Favre invite au foisonnement de couleurs et une véritable explosion printanière. L’illustratrice et dessinatrice française installée à Barcelone s’est inspirée de Frida Kahlo, de l’énergie vibratoire de sa peinture, et de la puissance qui émane d’elle en tant que femme.

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Parfum de vacances et de fin de partie, en couverture du New Yorker du 9 juillet 2019, Mark Ulriksen invite au farniente. Nul besoin de faire le moindre effort, se laisser porter par le doux roulis de l’eau de la piscine, tout simplement, sans complexe, pour un repos bien mérité. Ah, n’y être plus pour personne, enfin…

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Depuis 1978 Sempé a dessiné 110 couvertures pour le célèbre magazine New Yorkais. Sur la dernière en date, le 15 octobre 2018, c’est une savoureuse lecture groupée qu’il nous offre malicieusement. On ne peut s’empêcher de se demander quel est ce livre qui a ainsi attiré derrière lui tous ces enfants, aux visages bigarrés et littéralement imbriqués les uns dans les autres. Tout l’esprit cosmopolite de New York en un dessin.

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Hommage à Notre-Dame en couverture du New Yorker du 29 avril 2019. Deux semaines plus tôt la cathédrale parisienne a subi un incendie ravageur qui lui a pris la fameuse flèche de Viollet-le-Duc ainsi que sa voute et sa charpente de son toit, véritable forêt… Sous la plume de Bob Staake, les deux tours se dressent envers et contre tout, immuables. La lumière traverse du feu traverse la rosace où se détachent fragile les silhouettes des deux anges et la vierge à l’enfant.

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Jeux d’ombres et d’eau à la surface de l’East River, sous le pont de Brooklyn, en couverture du New Yorker du 27 mai 2019 par Malika Favre. L’illustratrice et dessinatrice française installée à Barcelone fait délicatement glisser un paddle dans l’ombre du pont suspendu conçu par John Augustis Roegling qui relie Manhattan à Brooklyn. Il a été maintes fois immortalisé au cinéma, d’ « Il était une fois en Amérique » de Sergio Leone aux frères Lumière, en passant par « Godzilla » et « Cloverfield ».

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Pour la Saint Valentin, le dessinateur français Pierre Le Tan s’empare de la couverture du New Yorker du 14 février 1970. Collaborateur de l’écrivain Patrick Modiano sur plusieurs ouvrages, Le Tan ouvre grand ses fenêtres sur un ciel d’azur où trône un cœur battant, en toute poésie et douceur.

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Pour le numéro style du New Yorker du 9 septembre 2019, Malika Favre pose le mouvement au centre de sa couverture, avec une robe fluide mais qui s’impose en toute élégance. La dessinatrice française installée à Barcelone rend hommage à une femme forte, sensuelle et aventureuse. Le regard est direct, le soleil découpe délicatement le visage, la marche est souple et assurée, pour un franc balayage d’automne.

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Birgit Schössow est une dessinatrice illustratrice allemande, installée non loin des bords de la mer Baltique. Pour la couverture du New Yorker du 18 novembre 2019, elle dessine une tenue de toute beauté, restituant les teintes orangées de saison sur fond de ciel gris de Manhattan, pour un modèle littéralement habillée d’automne.

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Ambiance nocturne et lumineuse à la fois, en couverture du New Yorker du 21 novembre 1958. Arthur Getz, dessinateur de plus de 200 couvertures du magazine entre 1938 et 1988, rend hommage à la presse et aux journaux du soir, qu’on s’arrache et dévore jusqu’en haut de l’escabeau, aussitôt qu’elle parait. Sans doute pour y découvrir ce « succès foudroyant » qu’on annonce en lettres rouges… 

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Tout au long du XXème siècle New York fut une référence mondiale pour la danse. De Martha Graham au New York City ballet, de Balanchine à Jérôme Robbins ou Alvin Ailey, du ballet classique à la danse moderne, en passant par les incontournables comédies musicales de Broadway, de West Side Story à Fame. Sur la couverture du New Yorker du 15 octobre 1955, Arthur Getz capte le saut gracieux d’une danseuse face au miroir, qui rêve sûrement de brûler les planches à son tour. 

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Etrange vacances à la campagne, paisibles et inquiétantes à la fois, en couverture du New Yorker le 20 aout 2018. La famille se prépare à pagayer gaiement sur son canoë, mais la menace gronde, sourde et voisine. Façon pour R. Kikuo Johnson de rappeler que l’autorisation des armes à feu aux Etats-Unis fait peser un danger sur chacun même dans l’endroit en apparence le plus inoffensif… 

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New York et le Basket sont intimement liés, des terrains de rue au Madison Square Garden où les Knicks sont chez eux. Sur la couverture du New Yorker du 5 février 1966, Arthur Getz choisit le jaune et peint les silhouettes des joueurs avec un style unique, épuré et limpide. Le ballon se détache, précis, sur le panneau blanc, suspendu au dessus du panier, tandis que le public observe le match dans une perspective à l’infini. 

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Crépuscule estival en couverture du New Yorker le 27 aout 1979. Arthur Getz, qui a dessiné plus de 200 couvertures pour le New Yorker entre 1938 et 1988, capte la ville au moment où elle s’embrase littéralement, parée de rouge comme si elle était en feu. Getz joue des contrastes avec l’ombre bleu qui s’emparent des corniches de l’immeuble au premier plan, pour accentuer la sensation d’apocalypse et d’incandescence.

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Une étoile blanche de la bannière américaine brisée comme une vitre, et que remplace un éclat noir… Ainsi Peter Mendelsund rend-il hommage à Freddie Gray sur la couverture du New Yorker du 11 mai 2015. L’adolescent noir est décédé des suites de son arrestation par des policiers à Baltimore. Sa mort déclenche plusieurs nuits d’émeutes dans la ville et son nom devient le symbole du combat de la communauté afro-américaine contre les violences policières systématiques dont elle est victime. 

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Au cœur de l’hiver, vue sur la cour, sur cette couverture du New Yorker du 21 janvier 1974 par Donald Reilly, auteur de 16 couverture pour le magazine. On retrouve sur celle-ci les emblématiques escaliers de secours noirs, au cœur d’un hiver enneigé. L’enchevêtrement des grilles, escaliers et fenêtres, brouille les perspectives, et seule persiste un petit pan de ciel bleu pâle. 

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Les livres sont un monde. En couverture du New Yorker du 19 octobre 2009, Eric Drooker remplace les gratte-ciels mythiques de Manhattan par un savant agencement de volumes de bibliothèque. Du rouge au bleu, des rives au ciel, il recompose la ville, et glisse la silhouette d’un homme qui part à sa découverte, vers le soleil. 

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Le dessinateur Mark Ulriksen est le spécialiste des thématiques sportives dans le New Yorker. Sur la couverture du 7 avril 2008, il glisse habilement la main d’un joueur de base-ball réceptionnant une balle dans les branches d’un arbre. Basés dans le Bronx, les Yankees forment l’équipe emblématique de New York. Surnommés « les bombardiers », ils ont remportés 27 titres de série mondiale et 40 championnats de ligue américaine, ce qui fait d’eux le club le plus titré du sport professionnel d’Amérique du Nord. 

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Labyrinthe du cœur en couverture du New Yorker le 13 février 1978, traditionnelle semaine de la Saint Valentin. Décédé en 2016 à 92 ans, Robert Weber est une figure du New Yorker dans lequel il a publié plus de 500 cartoons humoristiques, il a aussi été illustrateur pour le magazine de mode Harper’s Bazaar. 

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Bob Staake a conçu quelques-unes des plus célèbres couvertures du New Yorker, de la mort de Prince au tombeau de Lincoln célébrant l’élection de Barack Obama. Le 21 novembre 2016, pour l’élection surprise de Donald Trump, c’est un tout autre dessin qu’il produit. Un large mur de briques rouges recouvre la quasi totalité de la couverture, en écho au projet de mur entre Etats-Unis et Mexique voulu par Trump. Pour Staake, cependant, l’image peut aussi se lire comme le début d’une résistance tentant de déconstruire le mur… 

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Découpes d’immeubles et reflets en pointillés dans le lac de Central Park, telle est la vision d’Eugene Mihaesco, dessinateur roumain exilé aux Etats-Unis dans les années 60 et auteur de plus de 70 couvertures pour le New Yorker, dont celle du 18 aout 1975. Il a consacré une grande part de son travail à dessiner contre l’oppression et pour la paix dans le monde. 

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Jeux d’ombres pour la couverture du New Yorker du 29 avril 2013. Eric Drooker évoque le marathon de Boston endeuillé par un attentat quelques jours plus tôt. A travers les ombres de quelques coureurs, démesurées par l’effort, dans la lumière saturée du printemps, le dessinateur rend hommage à la vie et aux victimes, solidarité d’une ville à l’autre dans des temps tourmentés. 

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Pour la couverture du New Yorker spécial fiction du 10 juin 2013, Birgit Schössow joue avec les ombres. Deux silhouettes d’homme et de femme se cherchent et se traquent dans une ville éteinte, silencieuse et désertée. L’artiste allemande convoque les fantômes du film noir, dans la ville qui ne dort jamais. Les tirages 30x40 cm et 40x50 sont présentés sous passes-partout. 

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New Yorkais d’origine israélienne, Tomer Hanuka croque avec humour les paradoxes de la grande pomme, en couverture du New Yorker du 11 avril 2016. Dos à dos dans une position gémellaire, un hipster tatoué, barbu jean troué, ongles peints et smartphone dans les oreilles, et un juif orthodoxe à la barbe similaire, chapeau et papillotes. Deux looks radicalement différents, mais empruntant la même ligne L du métro, depuis le coin de la 14ème rue et la 8ème avenue, dans Chelsea, Manhattan, jusqu’à Rockaway Parkway à Canarsie, Brooklyn. 

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3 mois après l’élection de Donald Trump, pour le numéro anniversaire de sa création, le New Yorker choisit d’alerter sur le danger qui guette les libertés aux Etats-Unis. La couverture du 13 février 2017 par John W. Tomac montre la flamme éteinte de la statue de la liberté, dont la fumée se perd dans la nuit profonde. La politique anti-immigration du nouveau Président éteint la flamme qui accueillait les migrants venus du monde entier et qui ont fait les Etats-Unis à travers les siècles. 

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Sempé a dessiné 101 couvertures du New Yorker. Pour celle du 14 novembre 2011, il retrouve un de ces terrains de prédilection : les musiciens et leurs instruments. Dans la salle de répétition d’un professeur de musique, entre une toute petite fille et son minuscule violon, cernés par d’énormes contrebasses qui l’encerclent littéralement. Les tirages 30x40 cm et 40x50 sont présentés sous passes-partout. Les dimensions indiquées comprennent la création ainsi que le passe partout. 

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« Chien de Noël » au coin du feu, selon Ana Juan, en couverture du New Yorker du 19 décembre 2016. L’artiste espagnole a dessiné une vingtaine de couvertures pour la revue, dont celle qui a suivi les attentats de Charlie Hebdo et l’hypercasher en janvier 2015. Deux mois après l’élection de Donald Trump, est-ce l’image d’un futur qui interroge l’illustratrice : le cœur d’un intérieur cosy où brûle un feu intense ? 

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Arthur Getz est un de ceux qui a dessiné le plus de couvertures du New Yorker, 213, entre 1938 et 1988. Sur celle du 4 janvier 1958, pour la nouvelle année, il saisit un orchestre de jazz en plein morceau. Pianiste qui s’apprête à jouer, mains suspendues au-dessus du clavier, et contrebassiste absorbé, contrastent avec l’énergie du batteur aux baguettes déchainées. Une image qui rappelle que New York fut la capitale mondiale du jazz. 

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Magie des couleurs et magie du couple sur la couverture automnale du New Yorker du 12 novembre 2018 par Eric Drooker. Les tons bruns et rouges de l’automne se mêlent aux bleus de l’eau du lac et des façades des gratte-ciels qui bordent Central Park et se découpent dans le ciel du soir. Dans la chaloupe, le couple d’amoureux reprend le même couleur, bleu pour le rameur, rouge pour la femme rousse de dos qu’il promène doucement. 

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« Courses de Rats », dans l’œil caustique de Peter de Sève, en couverture du New Yorker du 5 décembre 2016. Deux mondes vivent superposés, mais lequel est la métaphore de l’autre ? Collaborateur régulier du New Yorker, Peter De Sève a aussi créé de nombreux personnages animaliers dans des dessins animés mondialement connus, comme « L’âge de Glace » (20th Century Fox), « Mulan » et « Le Monde de Nemo » produits par Disney. 

Zoom sur

Le format 40x50 cm

Cadre 43x53 cm Papier : Création

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Noël approche, sous les pinceaux d’Arthur Getz, en couverture du New Yorker le 18 décembre 1965. La nuit étincelle de couleurs multiples, reflets bleus de la nuit, rouge des guirlandes, jaune des phares et des fenêtres des immeubles, vert des flaques sur les trottoirs. La nuit est plurielle, œuvre d’un artiste à la palette infinie, de Soho à Greenwich village, ou Chelsea. 

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Automne pointilliste et impressionniste, sous la palette d’Eric Drooker, en couverture du New Yorker le 9 novembre 2009. Les arbres flamboient de rouge et d’orange, irradiant l’espace. Les silhouettes des promeneurs se détachent tout en ombres chinoises, dans un magnifique tourbillon de fin de journée… ou de fin du monde !

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Froid polaire en couverture du New Yorker du 13 janvier 2014. Bruce McCall remplace les célèbres lions emblématiques qui encadrent le parvis de la Bibliothèque Publique sur la 5ème avenue, par deux ours blancs bien plus adaptés aux températures hivernales de cet hiver-là. Stalactites et déneigeuse imperturbable complètent le tableau de saison crépusculaire. 

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Mariage du chaud et du froid, pour une « tempête parfaite » selon le dessinateur Tomer Hanuka, dont c’était la première couverture pour le New Yorker, ce 10 février 2014. Un jeune couple regarde tomber la neige par la fenêtre de leur chambre, impuissants et protégés à la fois. Pour Hanuka, qui a grandi en Israël et est arrivé à New York a 20 ans, c’est un souvenir marquant, lié au passage à l’âge adulte. La conscience de la liberté qui s’offre à soi, en même temps que les limites de ce qu’il sera possible de réaliser…