BULLES
Depuis plusieurs années Soledad collabore avec Image Republic pour qui elle a imaginé une collection exclusive d’illustrations féminines et colorées.
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Boutique 4 Rue du Cherche-Midi 75006 Paris
« Quand j’étais gosse, le chahut était ma seule distraction. » Sempé est né le 17 août 1932 à Bordeaux. Renvoyé du collège pour indiscipline, il se lance dans la vie active : homme à tout faire chez un courtier en vin, moniteur de colonies de vacances, garçon de bureau... À 18 ans, il écume les salles de rédaction et vend son premier dessin à Sud-Ouest en 1951. Sa rencontre avec Goscinny coïncide avec les débuts de sa fulgurante carrière de « dessinateur de presse ».
Une quarantaine d’albums de dessins, depuis Rien n’est simple en 1962, traduisent à merveille sa vision tendrement ironique de nos travers, chefs d’œuvre d’humour. Sempé est un des rares dessinateurs français à illustrer les couvertures du très prestigieux The New Yorker, et fait sourire des milliers de lecteurs dans Paris Match.
En 1992, Martine Gossieaux ouvre une galerie consacrée à sa passion depuis l’enfance : le dessin d’humour, intemporel et élégant. Elle expose chaque année au 56 rue de l’Université, à Paris, les dessins originaux de Sempé et édite gravures, estampes originales et livres. Elle organise régulièrement les expositions d’envergure qui lui sont consacrées partout dans le monde, musées et lieux culturels. En 2018, le Fonds de Dotation Jean-Jacques Sempé a été créé par le dessinateur pour diffuser et promouvoir son œuvre.
La Collection Sempé éditée par Image Republic en collaboration avec La Galerie Martine Gossieaux, est exclusive, les dessins se déclinent en tirages sous passe-partout 30x40 cm et 40x50 cm, en puzzles, en carnets et en cartes postales.
Photo © Jean-Paul Guilloteau / EXPRESS-REA
Entre ses flâneries parisiennes et new-yorkaises, il est arrivé à Jean-Jacques Sempé de dépeindre le petit monde cloisonné du Saint-Tropez des années 60. Avec ironie, le dessinateur joue des codes de ce microcosme où l’être et le paraître se confondent. Son épicentre est sûrement le café mythique Senequier, institution de la « French Riviera » où il faut voir et être vus (toujours à travers ses lunettes noires). Tous semblables, les personnages sont tels des clowns tristes, qui baignent dans l’oisiveté sans en profiter.